Etude sur les os humains. (pv Fiona)

Etant là, trainant un type dans la bibliothèque a l'abris des regards, il le colla contre un mur avec un sourire sadique, il lui dit en tenant un livre.

"Ta pas de chance tu vas me servir de cobaye, je viens de finir ce livre intitulé... L'ossature humaine."

Le pauvre ado qui était devenus un cobaye commença a trembler de peur, James lui envoya un coup de pied la où sa fais mal et le fit tomber a genoux. Ensuite cherchant aprés un objet lourd il souria et lui dit:

"Je pense que l'on va voir si ton tibia est résistant."

Le gars tomba alors dans les pommes, James soupirant entendit quelqu'un approcher.

La jeune poupée fessait, comme à son habitude, claquait ses chaussures sur le sol, elle serrait entre ces bras un livre qu'elle voulais proposait à la bibliothéque, elle traversa la salle sans faire attention aux deux garçon, et, dépossant sur le contoire, le livre avec un message rapidement écrit, en effet, le bibliothéquaire n'était pas là, alors elle commença à repartir avant de s'arreter devant l'étagère des livres de SF, c'est là qu'elle vu à quel point un garçon était mal en point, elle s'approcha alors de lui, ces souliers résonnaient encore, et ce, de plus en plus fort, enfin, une fois au niveaux des deux jeunes gents, elle s'abaissa au niveau de l'eu et lui pris la tête dans les mains, regardant le deuxième, et, de sa voix douce et presque inodible, elle commença :

-Heum... Il est dans les vaps... Vous ne faites rien pour l'aider...? Vous qui êtes un garçon qui n'a pas l'air faible, vous ne voudriez pas m'aider à le transporter à l'infirmeie...? Ou peut-être préferrez vous le voire dans ce mauvais état ?

Après avoir demandé cela, Fiona passa le bras droit du jeune garçon par dessus son épaule et elle commença à se relever avec peine...

"Personnellement si il est dans cette état c'est qu'il l'a cherché. Et je ne pensais pas qu'il était si sensible. Laisse le là il en vaut pas la peine, il va surement se rêveiller. Il c'est évanouie quand je lui ai dit que je venait de finir ce livre."

Dit il en montrant le bouquin. En faite il voulait lui casser deux trois os mais que quand il aurait était conscient, car un inconscient ce n'est pas marrant de le torturer, alors attendant que la jeune femme le laisse là il reprit:

"Donc aux lieu de te gêner pour lui, viens donc t'assoir tant qu'il ne se rêveille pas et te saute a la gorge pour te violer."

Il reprit son ingénieux stratagème du fais de ranger les gents de son coté. Bien sûr ensuite si cette personne se trouve insupportable cela deviendrait une victime.

"Sois pas timide."

La jeune fille écouta, avant de tout de même soulever le premier garçon et le tirait un peu plus loins, il y avait un coin avec un fauteuil, elle l'y installa avant de revenir de son pas assez...bruyant...

-Désolée... Mais je me sentais obligée de le faire... Je... Je ne peux pas vous croire, peut-être m'aurait-il simplement remercier de l'avoir amener à l'infirmerie plutôt que, comme vous le dites, me violer...

Après ces quelques mots, la poupée de porcelaine tira une chaise et s'y assit serrant les cuisses et écartant les mollets, malgrès cella, la fente de son kimono laisser un peu transparaitre ceux-ci...

-De quoi avez vous envie de parler monsieur...?

La voix de la jeune fille était toujours la même, presque inodible et toujours aussi douce, presque protectrice, mais ce n'était pas tout, dans son regard on pouvait sentir sa gentillesse et son envie d'aider ou de plaire...

"Appelle moi James. Et toi comment t'appelle tu ?"

La jeune fille était trés charmante, si gentille, même un peux trop. Face a James elle n'aurait aucune chance. En faite, il voulut être sympathique pour une fois. Le temps que le gars reste inconscient.

"Tu dois être nouvelle, moi aussi je suis nouveau."

Pour ce qui fut du fais qu'elle demanda ce qu'il voulait parler, il ne disait rien, il voulut juste savoir son prénom pour l'instant, et peut être qu'aprés ira t'il voir l'anatomie de la jeune demoiselle. Peut être...

"Tous ce que je souhaite c'est qu'ici tu trouveras des personnes de confiance."

La poupée de porcelaine écouta le jeune garçon, puis, pour répondre à sa première question, elle répondit sur un air catégorique, mais avec un visage tout à fait identique à l'instant qui précédait ce-ci.

-Non. Je continurais à vous appelez monsieur, je ne vous connais pas assez, et, je me prénomme Fiona...

L'instant d'après, son regard s'était encore adoucis, et la jeune fille passa une main dans ces cheveux de la couleur de la cendre avant d'écouter l'afirmation de "James", elle haucah la tête, un sourir se dessinait bientôt sur son visage et avec celui-ci, elle resembalit variment aux templières du temple dans lequel elle avait grandit...

J'espère aussi en trouver... Sinon je changerais d'établissement... Je n'ai aucunes envie de survivre... Juste de vivre... Pa vous...?

"Je suis la pour vivre, mais ici j'ai appris qu'il vallait mieux se faire écouter. Je déteste quand on ne me comprend pas. Alors du coup les gents se plaignent de moi. Mais aussi, rappelle moi monsieur et tu auras une surprise plutôt amère, je n'apprécie pas que l'on m'appelle ainsi."

Il avait une voie douce et mielleuse, avec un regard sympathique mais un sourire sadique à la fois, En faite il était toujours calme, même trop calme. le fais qu'elle sois ainsi était si tentant, il serait prêt a la séduire ou la prendre de force.

"Enfin, ce n'est qu'une recommandation que je te fais."

*Si tu me prend a la légère tu verras.*

La jeune Martinez écouta attentivement le garçon avant de se lancer, elle lui enverais une pique, petite certe, mais elle désirait se faire comprendre.

-J'ai beau être d'une nature docile, je continurais de vous appeller monsieur. Mais... De quoi voulez vous donc parler mon cher monsieur ?

Elle disait ça avec une pointe d'arogance, et sûrtout, en insistant sur le "monsieur". Après quoi elle garda sa main sur sa nuque, longeant son buste, tandis que l'autre vennait se placer sur la fente de son kimono, sur la cuisse gauche... Elle croissa ensuite les jambes, et les mains de la poupée restèrent dans la même possition... Après quoi elle repris comme si elle n'avait jamais envoyé de pique.

Vous devez être bon en biologie, ou du moins aimer les science pour lire un tel livre...

Elle avait marmonner ce-ci, d'une façon inodible, enfin, après cella elle le regarda de plus en plus profondément, pour essayer de dviner à quoi il pensait, son sourir était généreux, laissant apparaitre le bas de ces dents blanches, la main qui était sur sa nuque vint se posser contre son menton et, l'index replié devant sa bouche... C'était trop calme, avec un peu de chance, les seuls bruits qu'étaient ceux des deux adolescents, allaient bientôt être couvert par le bibliothéquaire ou l'adolescent au fond de la pièce, même si cella deviendrais étonnant... On aurais dit qu'ils étaient les seuls, dans cet immense endroit...

"La biologie ne m'intéresse que sur un point."

Le type qui était inconscient se ranima, et en même temps James lui dit alors.

"J'ai lut pas mal de livre sur les articulations, l'anatomie en générale. Je vais te le montrer."

James se relevant attrapal le type par le poignet et posa le bras de celui ci sur la table, il lui cassa le pousse pour commencer.

"Sans le pousse il peux presque plus rien faire avec sa main, Ho mais ses autres doigts sont jaloux, nous allons arranger ça."

Il lui cassa le reste des doigts de cette main la tendit que le type pleura et hurla de douleur, il l'envoya dans le fauteuille et dit:

"Va pleurer ailleur tu me casse les oreilles !"

Ensuite se tournant vers la jeune demoiselle il reprit un visage sympathique et dit:

"Le corps humain est si fragile tu ne trouve pas ? C'est ce qui peux arriver a n'importe qui non ?"

Dès la première démonstration, la poupée de porcelaine c'était relevée, effrayée par la personne qui se tennait devant elle, ensuite elle pleura, mettant une main devant sa bouche et elle recula d'un mètre...

-Vous n'avez donc pas honte de ce que vous faites ?! C'est... C'est ignoble..! Regardez ce que vous avez fait, vous me donnez envie de vomir...!

Après cella, la poupée commença a courir, mes ses tong japonaises se cassérents et la jeune fille tomba à terre avant même d'avoir put courir sur un métre... Elle pleurait encore, et en plus, elle qui était de constitution faible et fragile, la peur la prenait de plus en plus... Son visage n'était plus le même, ce visage plein de larmes était choqué, cependant, la jeune fille n'arrivait pas à se relever pour courir plus loins ou prévenir quelqu'un, mais, contrairement à l'autre adolescent, ses pleurs étaient étoufflés, audibles mais peu...

*Pourquoi faut-il que je tombe sur un tel fou... Je... J'ai de plus en plus peur et mes jambes refussent d'obéir...*

"Ho oui pleure crie. Tant de crainte, cela me touche au coeur. Non je n'ai pas honte, je vie mon art comme je le souhaite, et je trouve cela exitant. Tu vois c'est ce qui t'arriveras si tu me dérange ou que tu m'appelle monsieur !"

Il s'approcha, la regardant, il se posa une question qu'il n'hésita pas a lui poser.

"Je me demande a quoi ressemble ton anatomie, et toi ? Ho mais tu dois déjà le savoir, allez relève toi. Les pleurs et les cries ne font que me donné plus d'envie. Tu ne sera pas la première a pleurer a cause de moi, ni même la dernière."

Un léger rire sadique se fit entendre, il vit même passé une encyclopédie a raz de sa tête, se retournant il vit le type aux doigt cassé.

"Bien, on va jouer a deux alors."

James couru et lui attrapa la seconde main le faisant passer par dessus lui pour l'envoyer au sol, et la il ne s'occupa pas de la main, mais de du bras. De façon a rendre son bras inutilisable pour un petit moment, on entendit le crie du garçon, se relevant il dit alors.

"Je vous rassure, personne ne viendra. Je me suis arrangé pour avoir la salle a moi seul. J'ai assomé le bibliothécaire pour ça."

En faite là il mentit, mais si cela donna de l'influence.

La poupée avait beau se mordre les lèvres pour éviter de pleurer, elle n'arrivait pas, et cella lui fessait mal que le jeune garçon soit revenue, elle se mit alors à crier pour celui-ci :

-Tu n'aurais pas du revenir! Si tu en a l'occasion, part...!

Après cella, Fyo commença à regarder James avant de reprendre tout en essuyant ces larmes et restant à terre, en serrant son poingt contre sa poitrine et en soufflant du mieux qu'elle le pouvait...

-Laissez le partir! Et... Et... Et je... je me donnerais... Enfin... vous pourrez faire ce que vous voulez de moi... m'étudier, m'esclavager, me violer, tout! Mais laissez le partir... Je déteste voir les autre soufrir...et...

Ensuite, elle esseya de se reausser, elle appuya ces mains à terre et releva le haut de son corp pour se retrouver dans une possition entre assise et allongée...

-S'il vous plait...

La il était en train de retourner le bras du gaillard. Ensuite lachant le bras de celui ci le va la tête vers elle et lui dit:

"Je préfère quand les personnes sont conscentante, je ne suis pas si obscène que ça tous de même."

On entendit un craquement, en plus de lui avoir cassé le bras il l'avait déboité. Sa crauté n'ayant d'égale il souria, pour lui c'était une partie de plaisir. Mais lâchant le gaillard qui n'osa plus bouger il dit alors.

"Même si la proposition est tentante. Je me dois de refuser, je trouverais mieux que les femmes sois conscentante. Car le viole laisse des traces."

Tirant le garçon pour le mettre sur la table, il revint auprés de la jeune demoiselle s'asseyant en face d'elle.

"Tous ce que je veux c'est que tu m'appelle James ! Et bien entendus, aucun de vous deux ne dira ce qui c'est passé ici d'accord ? Sinon vous le regretterez."

-Vous ne connaissez pas ce qu'est la libertée d'expression, espèce de sal*****d ?! Je parlerais, et j'en assumerais seule les conséquences, je déteste les hommes dans votre genre!

Elle avait dit ça en décrochant une claque au jeune homme avant de se relever et de courir auprès du deuxième, lui demandant de tenir bon...

-Vous êtes ignoble, je n'ai que ça à dire sur vous.

Après ce-ci, elle serra le jeune homme par la taille puis repris :

-MAintenant, laissez nous sortir! S'il vous plait!

"Je ne vous laisserez sortir que si vous promettez de tenir votre langue."

Son sourire s'élargiça et il reprit alors sur un ton des plus sadiques.

"Sinon je vous donne un choc si violent a vous rendre amnésique !"

Son rire déjanté se déclencha, il s'arrêta peux aprés, son regard devint plus doux comme son sourire. mais c'était vraiment quelqu'un d'ignoble.

"Alors, soyez sympas. Soutenez vous l'un et l'autre, enfin si vous voulez encore vivre."

Il opta pour le lavage de cerveau, prenant la grosse encyclopédie il les regarda avec le sourire dou comme son regard, qui au fond était si sincère a en être incroyable.

La jeune fille chuchotta quelque chose à l'oreille du garçon qu'elle tnait par la taille avant de le lacher, après quoi elle s'avançat vers l'autre garçon, elle referma la fente de son kimono, et, toujours de son pas lent, elle arriva à même pas une dizaine de centimètre du garçon, mettant les mains sur les hanches de celui-ci. La poupée de porcelaine soupirait, ou plutôt, respirait avec mal, fermant les yeux avant de remonter le visage.

-D'accord, je ne dirais rien, mais laissez nous partir, à moins d'avoir une autre requete...

Après cella, elle détacha des mains du garçon, elle avait beau le détestait, en un sens elle le trouvait attirant, et ce justement car il était assez... violent...

"La seule requète que j'aurais c'est que vous gardiez tous deux le silence."

*De toutes mannières les deux autres ont accepté le pacte. Donc ils n'auront pas le choix et m'aideront sans rien dire.*

"Tente le moindre coup bas et tu verras a qu'elle point je peux devenir dangereux."

Elle était tous ce qu'il pouvait aimer en une fille mais ne se laissera pas séduire dans un tel moment, son bon coté reprenant un peux, il regarda le gaillard au loin et lui dit:

"Toi tire toi et si tu dis ce qui c'est passé tu es mort ok !"

Il fit un signe affirmatif de le tête et se sauva. Ensuite, regardant Fiona qu'il ne comprenait pas vraiment il la força a s'assoir sur une chaise et dit avec un étrange sourire.

"Tu es une fille que j'ai du mal a comprendre, et ça sa me plait. Le fais que de crainte tu passe a attachante me rend perplexe."

-...

La jeune fille fut obligée de s'assoir et tourna la tête pour voir la seconde personne partir...

-J'ai toujour était comme ça, et vous ne me changerez pas... C'est un fait... Si je vous plait, tant mieux pour vous, mais, je vous le dit en tout honeteté, n'attendez rien de moi, ensuite, si je vous rend perplexe, tant pis pour vous, j'ai beau être docile, j'ai un minimum de caractère, n'essayez pas de me comprendre, vous auriez une migraine trop rapidement...!

Après cella, elle passa une main dans ces cheveux, le même sourir que précédament, juste de cex yeux coulés encore quelques larmes...

-Vous avez dit ne plus avoir de requete, alors pourquoi me faire rester ici ?

"Pourquoi je te demande de rester ? Pour en savoir un peux plus sur toi, et aussi avoir de la compagnie. Les deux de ma chambres ne sont pas là, ce n'est pas pour autant que je dois me délaisser de la moindre compagnie, je suis comme qui dirait sélectif."

Toujours souriant, il la regarda avec tendresse s'asseyant face a elle, bien sûr un type comme lui était intrigant, mais elle ne sembla pas intrigué, alors il lui dit sans gêne:

"Pourquoi ne pas faire un petit jeu de ton choix, cela permettra de mieux communiquer n'est ce pas."

*Je l'ai assez torturer, je devrais peut être me montrer plus gentil avec elle. Elle est mignonne, et qui sais.*

-Si tu es selectif, pourquoi m'avoir choisit ?

Après cella, elle dévia le regard puis se leva, à la base, si elle était venue c'était aussi pour prendre un livre de SF, ce qu'elle fit à ce moment prècis, en attrapant deux d'un auteur qu'elle aimait. Ensuite la poupée les dépossa violament sur la table avant de se rassoir.

-Mes seuls loisirs son la lecture et l'écriture, avec, rarement, l'écoute de musique, si tu avais pensé à autre chose, tant pis pour toi. Je dois aussi te dire que je ne t'apréçis guèrer, mais je ne veux pas avoir d'ennuie, alors je vais rester avec mon loisir premier... Une objection ? Non, tant mieux alors!

En fait, elle ne lui laissa pas le temps de répondre qu'elle attrappa un livre et commença à le lire, elle se prennait dans sa lecture, son air un peu plus froid disparaissait enfin pour la laisser comme une fleur fragile, en fait, une fois prise dans la lecture elle était vraiment douce et affective...

"Tu as fais deux exellents choix, des livres trés prennant, l'on si croirait des fois n'est ce pas ?"

En faite la il détourna légèrement le sujet et revint au premier sujet. Et là il n'hésita pas a lui dire:

"Tu as tous se dont je rêve, un caractère qui me plait. Tu sais on peux devenir amis, mais pour cela il faut que nous fassions tous les deux un effort, je suis pas du genre trés doué pour me faire des amis. Mais tu as du déjà le remarquer."

*Sûrement a cause de mon art, un art si doux et magnifique qu'est la torture physique et mentale.*

"Alors, dit moi Fiona. Tu me semble trés courageuse. Tu réfléchit avant d'agir ? Moi toujours."

La jeune fille fit semblant de ne pas envoir entendut la première question, en fait, elle les avait déjà lut, mais préférait ne rien dire à sa remarque. Il lui fit ensuite une remarque des plus déplaissantes, elle se leva aussitôt et tourna les talons.

-Si j'ai tout ce qui vous plait, c'est dommage, car, ça ne vous appartien pas, et je ne cooépére pas avec les personnes de votre espéce... Pour ma part, je me passe bien facillement d'ami dans votre genre, alors garder votre amitié pour vous, moi je partage la mienne avec qui sait être un temps soit peu sensible. D'ailleurs, c'est dommage, ma première impression sur vous était possitive...

Vint ensuite une autre question des plus déplaisantes, et, toujours sur son air froid, la poupée repris :

-Je suis une simple poupée impulsive mais qui sait en effet réfléchir, je ne réfélchit pas quand on me tape sur le systéme tandis que je réfléchit au moindre de mes pas quand je suis dans une situation calme...

"Je le sais trés bien, je ne donne jamais de bonnes impressions, tous le monde m'a haïe alors j'ai haïe tous le monde, de part une logique des plus grandes et qui m'a pris du temps a comprendre. Je m'haïe moi même et j'éssaye de devenir quelqu'un de tendre, mais a chaque fois des choses me poussent a faire le mal. Peut être l'adrénaline non ?"

Il la laissa s'énnerver, et il reprit tous aussi facilement.

"Tu n'est pas une poupée mais une merveille, tu ne peux être un objet comme une poupée, pourquoi décris t'on les gents comme des objets, cela en a aucune logique. Tu devrais faire ressortir ta haine peut être..."

La poupée se retourna pour se réavancer vers le garçon qui se trouvait là, commeil était encore assit, elle repris sur un ton un peu énerver :

-Si tu haie, c'est déjà un début, mais sache que tu soufriras par la suite... Ha, et, c'est moi qui me suis surnomée pour la première fois "poupée" à cause de mon visage, si cella te géne, trouves-moi donc un autre surnom, mais sur ce...

La poupée japonaise s'arreta et pris un livre avant de le lacher sur les genoux du garçon qui était là et de tournais les talons.

-Je suis peut-être en apparence une poupée, mais à l'intérieur, je ne suis pas aussi docile qu'elles autres... Je suis simplement moi, et je tien à le rester... Dernière chose, on ne hait pas par logique mais par bon sens, j'ai bien un jour adoré ceux qui m'ont détestés...

Sur ces mots ci, la jeunne fille commença à s'éloigner, gardant un livre entre ces bras, cependant, elle marcha lentement et, à ce rythme, en aurais pour quelques minutes encore...

"Pour moi le peux de bon sens que j'ai eut m'a mené a ma perte, depuis cela me parait bidon."

Il souffla un moment, regardant le livre qu'elle avait posé sur ses genoux. Enfin plutôt laché. Il lisa le tire. C'était un livre sur la Science fiction, il se leva et le rangea pour aller prendre un livre sur la psychologie, commençant a le lire, il dit même avant qu'elle ne parte.

"Jolie tenue. Et pour ton surnom je comprend pourquoi. Cela te donne un certains charme je dois bien l'admettre."

Il la laissa filer, mais aurait elle du remord ou non ? Quoi qu'il en était, il continua de lire, peut être que grace a se livre il pourrait mieux s'en prendre aux gents, voir même les comprendres.